Jocelyne, une parisienne de 56 ans qui adore le sexe anal
Sur cet article, nous vous présentons la belle Jocelyne, 56 ans, un peu bourgeoise est divorcé depuis peu. Cette parisienne qui habite Rive Gauche, du côté de St-Sulpice, a redécouvert sa sexualité récemment. Premièrement, pendant le confinement, elle s’est inscrit sur des sites de rencontre afin de faire des trouvailles et pimenter sa vie sexuelle. Évidemment, Elle a opté pour la débauche sexuelles avec des hommes plus jeunes. Devenir couguar, ça va de plus en plus de soi lorsqu’on dépasse les 50 ans.
Mais la véritable révélation, c’est le sexe anal. Jusqu’à présent, elle avait une vie sexuelle totalement monotone, position du missionnaire le samedi soir. C’est à peine si son ex-mari se préoccuper de ses fantasmes et de ses véritables pulsions. Du coup, lorsque Jocelyne s’est fait sodomiser pour la première fois, elle a eu un choc. Un peu de douleur pendant 10 secondes et après, un tsunami de plaisir, un déluge d’orgasmes. Jamais le sexe n’avait été aussi bon. Et le responsable, c’est Kevin, 25 ans, le fils de la concierge. Ce jeune portugais, brin, le torse bombé et les muscles ferme, avait draguer par hasard la belle bourgeoise alors qu’ils se sont croisés dans le hall de l’immeuble. Trois jours plus tard, notre cougar en chaleur se retrouver les jambes écartées sur le canapé de la conciergerie. Prise comme une chienne, défoncer comme une salope, elle a offert naturellement, sans trop réfléchir, sa belle rondelle à ramoner par le jeune portugais.
Depuis, entre deux séances de shopping Au Bon Marché, quelques heures au spa et au centre de bien-être, notre quinquagénaire encore sexy, avec ses grosses mamelles prépondérante retrouve son jeune amant dans la plus grande discrétion. Madame Gomes, la maman de Kevin, ne se doute de rien. Si elle savait que cette grande bourgeoise, parfois hautaine, toujours élégante, se faisait démonter son gros cul par son jeune fils, elle en tomberait des nues. En effet, notre parisienne a su conserver une discrétion totale sur ses activités sexuelles décadente. En public, elle apparaît comme la femme chic, distante, qui vole au-dessus de la plèbe. En privé, elle n’est qu’une chienne soumise de plus, gourmande et affamée du jeune sexe de son amant, issu d’une classe sociale inférieur.